Méxique
Haïti
Colombie
Suriname
Guyane Française
Bolivie

D'où ce son peut-il bien provenir ?

1 / 3

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir du Méxique.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir de Haïti.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir de Colombie.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir du Suriname.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir de Guyane Française.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir de Bolivie.

OK

Gagné !

Le parler Totonaque de la sierra appartient à la famille de langues amérindiennes des langues totonaques. La langue comprend trois dialectes, parlés respectivement à Zapotitlán, Coatepec et Huehuetla. Les trois voyelles du totonaque de Zapotitlán de Mendez, peuvent être longues, et ces deux séries, peuvent être laryngalisées. En position finale, les voyelles sont dévoisées : miki̥, neige, ou stapu̥, haricots.

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Gagné !

Le parler Ixcatèque est une langue amérindienne qui appartient à la branche popolocane de la famille des langues oto-mangues. Les Ixcatèques habitent le village de Santa María Ixcatlán, situé dans l'Est de la Mixteca Alta. La langue n'est plus connue que de 10 personnes, tous des locuteurs âgés et est fonctionnellement éteinte.

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Gagné !

Le parler Ixcatèque est une langue amérindienne qui appartient à la branche popolocane de la famille des langues oto-mangues. Les Ixcatèques habitent le village de Santa María Ixcatlán, situé dans l'Est de la Mixteca Alta. La langue n'est plus connue que de 10 personnes, tous des locuteurs âgés et est fonctionnellement éteinte.

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Gagné !

Le Créole Haïtien, en créole : Kreyòl, est un créole à base lexicale française parlé par 10 millions de personnes en Haïti et environ 2 millions dans le reste du monde, surtout aux États-Unis. Il s'agit d'un créole à base de français avec des influences de diverses langues ouest-africaines et centre-africaines comme le wolof, le fon, l'éwé, le kikongo, le yoruba et l'igbo. Depuis 1987, le créole haïtien est reconnu comme langue officielle d'Haïti à côté du français, grâce à la mobilisation de nombreux écrivains et intellectuels haïtiens et de linguistes.

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Gagné !

Le Créole Haïtien, en créole : Kreyòl, est un créole à base lexicale française parlé par 10 millions de personnes en Haïti et environ 2 millions dans le reste du monde, surtout aux États-Unis. Il s'agit d'un créole à base de français avec des influences de diverses langues ouest-africaines et centre-africaines comme le wolof, le fon, l'éwé, le kikongo, le yoruba et l'igbo. Depuis 1987, le créole haïtien est reconnu comme langue officielle d'Haïti à côté du français, grâce à la mobilisation de nombreux écrivains et intellectuels haïtiens et de linguistes.

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Gagné !

Le Créole Haïtien, en créole : Kreyòl, est un créole à base lexicale française parlé par 10 millions de personnes en Haïti et environ 2 millions dans le reste du monde, surtout aux États-Unis. Il s'agit d'un créole à base de français avec des influences de diverses langues ouest-africaines et centre-africaines comme le wolof, le fon, l'éwé, le kikongo, le yoruba et l'igbo. Depuis 1987, le créole haïtien est reconnu comme langue officielle d'Haïti à côté du français, grâce à la mobilisation de nombreux écrivains et intellectuels haïtiens et de linguistes.

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Gagné !

Le Yucuna est une langue amérindienne de la famille des langues arawakiennes du Nord, parlée en Colombie le long de la rivière Mirití-Paraná, un affluent du Caquetá par l'ensemble des 1 800 Yucunas. Trois autres groupes indigènes se font appeler Yucuna (en tant que nom de famille), mais ils ont chacun leur propre ethnonyme : il s’agit des Je’rúriwa, des Jimíke’pi et des Jurumi. Enfin, un dernier groupe a choisi de se faire appeler Matapi, mais en yucuna, on les appelle Jupichiya (ou Upichiya). Ces 4 derniers groupes parlaient autrefois d’autres langues que le yucuna, mais après avoir pratiquement été décimés lors de guerres inter et intra-tribales, ils ont fini par parler la langue de leurs alliés Kamejeya.

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Gagné !

Le Yucuna est une langue amérindienne de la famille des langues arawakiennes du Nord, parlée en Colombie le long de la rivière Mirití-Paraná, un affluent du Caquetá par l'ensemble des 1 800 Yucunas. Trois autres groupes indigènes se font appeler Yucuna (en tant que nom de famille), mais ils ont chacun leur propre ethnonyme : il s’agit des Je’rúriwa, des Jimíke’pi et des Jurumi. Enfin, un dernier groupe a choisi de se faire appeler Matapi, mais en yucuna, on les appelle Jupichiya (ou Upichiya). Ces 4 derniers groupes parlaient autrefois d’autres langues que le yucuna, mais après avoir pratiquement été décimés lors de guerres inter et intra-tribales, ils ont fini par parler la langue de leurs alliés Kamejeya.

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Gagné !

Le Yucuna est une langue amérindienne de la famille des langues arawakiennes du Nord, parlée en Colombie le long de la rivière Mirití-Paraná, un affluent du Caquetá par l'ensemble des 1 800 Yucunas. Trois autres groupes indigènes se font appeler Yucuna (en tant que nom de famille), mais ils ont chacun leur propre ethnonyme : il s’agit des Je’rúriwa, des Jimíke’pi et des Jurumi. Enfin, un dernier groupe a choisi de se faire appeler Matapi, mais en yucuna, on les appelle Jupichiya (ou Upichiya). Ces 4 derniers groupes parlaient autrefois d’autres langues que le yucuna, mais après avoir pratiquement été décimés lors de guerres inter et intra-tribales, ils ont fini par parler la langue de leurs alliés Kamejeya.

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Gagné !

Le Ndjuka (appelé aussi ndyuka, aucan ou aukan) est un créole basé sur l'anglais parlé au Suriname et dans l'ouest de la Guyane française. C'est la langue de la communauté Ndjuka (ou n'Djuga) vivant le long du fleuve Maroni, dans les régions frontalières entre le Suriname et la Guyane française. Il est le plus souvent considéré comme une simple variante de la langue des Aluku, des Ndjuka et des Paramaka, très largement inter-compréhensibles.

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Gagné !

Le Ndjuka (appelé aussi ndyuka, aucan ou aukan) est un créole basé sur l'anglais parlé au Suriname et dans l'ouest de la Guyane française. C'est la langue de la communauté Ndjuka (ou n'Djuga) vivant le long du fleuve Maroni, dans les régions frontalières entre le Suriname et la Guyane française. Il est le plus souvent considéré comme une simple variante de la langue des Aluku, des Ndjuka et des Paramaka, très largement inter-compréhensibles.

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Le Ndjuka (appelé aussi ndyuka, aucan ou aukan) est un créole basé sur l'anglais parlé au Suriname et dans l'ouest de la Guyane française. C'est la langue de la communauté Ndjuka (ou n'Djuga) vivant le long du fleuve Maroni, dans les régions frontalières entre le Suriname et la Guyane française. Il est le plus souvent considéré comme une simple variante de la langue des Aluku, des Ndjuka et des Paramaka, très largement inter-compréhensibles.

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Gagné !

Le terme Taki-Taki est utilisé pour désigner de façon indifférenciée un mélange des diverses langues (comme le ndjuka et le sranan) parlées dans l'ouest de la Guyane française par les descendants Bushinengue des Noirs marrons, dont font partie les Ndjukas, les Alukus, les Paramakas et les Saramakas (mais ces derniers ont une langue plutôt basée sur le portugais), et les Amérindiens dont les langues risquent de disparaître. C'est devenu la langue de communication et d'échange dans l'Ouest guyanais, que presque tout le monde utilise sauf les métropolitains nouvellement arrivés.

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Gagné !

Le terme Taki-Taki est utilisé pour désigner de façon indifférenciée un mélange des diverses langues (comme le ndjuka et le sranan) parlées dans l'ouest de la Guyane française par les descendants Bushinengue des Noirs marrons, dont font partie les Ndjukas, les Alukus, les Paramakas et les Saramakas (mais ces derniers ont une langue plutôt basée sur le portugais), et les Amérindiens dont les langues risquent de disparaître. C'est devenu la langue de communication et d'échange dans l'Ouest guyanais, que presque tout le monde utilise sauf les métropolitains nouvellement arrivés.

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Le terme Taki-Taki est utilisé pour désigner de façon indifférenciée un mélange des diverses langues (comme le ndjuka et le sranan) parlées dans l'ouest de la Guyane française par les descendants Bushinengue des Noirs marrons, dont font partie les Ndjukas, les Alukus, les Paramakas et les Saramakas (mais ces derniers ont une langue plutôt basée sur le portugais), et les Amérindiens dont les langues risquent de disparaître. C'est devenu la langue de communication et d'échange dans l'Ouest guyanais, que presque tout le monde utilise sauf les métropolitains nouvellement arrivés.

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Gagné !

Le Trinitario est une langue arawak parlée en Amazonie, en Bolivie, dans le département de Beni. La langue n'est parlée que par 5 500 locuteurs environ sur une population ethnique de 20 805 personnes. Ce dernier chiffre, cependant, inclut les Ignacianos. La langue est menacée.

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Gagné !

Le Trinitario est une langue arawak parlée en Amazonie, en Bolivie, dans le département de Beni. La langue n'est parlée que par 5 500 locuteurs environ sur une population ethnique de 20 805 personnes. Ce dernier chiffre, cependant, inclut les Ignacianos. La langue est menacée.

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Gagné !

Le Chipaya est une langue du continent sud américain de la famille des langues Uru-Chipaya. La seule autre langue de ce groupe est l'uru, considéré comme un dérivé du chipaya. Les ethnologues la considèrent comme vigoureuse, avec environ 1200 personnes la parlant de nos jours. Elle a été influencée par l'aymara, les langues quechua, et plus récemment l'espagnol, qui ont remplacées environ 1/3 de son vocabulaire.

Le chipaya est parlé au sud du lac Titicaca, et principalement dans la ville de Chipaya dans la province de Sabaya, en Bolivie. Elle est dénommée Puquina ou Uchun Maa Taqu ("notre langue mère") par ses utilisateurs et est une langue dite d'agglutination.

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Ok, quelle diversité linguistique ! Y a-t-il une intercompréhension entre ces peuplades, des langues véhiculaires ?

Poursuivons notre exploration vers une autre zone...

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Algérie
Libye
Côte d'Ivoire
Nigéria
Cameroun
République Centrafricaine
Soudan
Tanzanie

1 / 3

D'où ce son peut-il bien provenir ?

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir d'Algérie.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir de Libye.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir de Côte d'Ivoire.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir du Nigéria.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir du Cameroun.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir de République Centrafricaine.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir du Soudan.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir de Tanzanie.

OK

Gagné !

Le Kabyle (en berbère : ⵜⴰⵇⴱⴰⵢⵍⵉⵜ taqbaylit ou tazwawt ⵜⴰⵣⵡⴰⵡⵜ ou encore tagawawt ⵜⴰⴳⴰⵡⴰⵡⵜ) est une langue afro-asiatique, de la famille des langues berbères, parlée en Kabylie (région du nord de l'Algérie) et également au sein de l'importante diaspora kabyle, en Algérie et dans d'autres pays (notamment la France et la Belgique). Le nombre de locuteurs est estimé à environ 3,5 millions en Kabylie et à environ 6 millions dans le monde, essentiellement à Alger et en France. Il s'agit de la deuxième langue berbère la plus parlée, après le Chleuh (sud du Maroc).

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Gagné !

Le Kabyle (en berbère : ⵜⴰⵇⴱⴰⵢⵍⵉⵜ taqbaylit ou tazwawt ⵜⴰⵣⵡⴰⵡⵜ ou encore tagawawt ⵜⴰⴳⴰⵡⴰⵡⵜ) est une langue afro-asiatique, de la famille des langues berbères, parlée en Kabylie (région du nord de l'Algérie) et également au sein de l'importante diaspora kabyle, en Algérie et dans d'autres pays (notamment la France et la Belgique). Le nombre de locuteurs est estimé à environ 3,5 millions en Kabylie et à environ 6 millions dans le monde, essentiellement à Alger et en France. Il s'agit de la deuxième langue berbère la plus parlée, après le Chleuh (sud du Maroc).

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Le Kabyle (en berbère : ⵜⴰⵇⴱⴰⵢⵍⵉⵜ taqbaylit ou tazwawt ⵜⴰⵣⵡⴰⵡⵜ ou encore tagawawt ⵜⴰⴳⴰⵡⴰⵡⵜ) est une langue afro-asiatique, de la famille des langues berbères, parlée en Kabylie (région du nord de l'Algérie) et également au sein de l'importante diaspora kabyle, en Algérie et dans d'autres pays (notamment la France et la Belgique). Le nombre de locuteurs est estimé à environ 3,5 millions en Kabylie et à environ 6 millions dans le monde, essentiellement à Alger et en France. Il s'agit de la deuxième langue berbère la plus parlée, après le Chleuh (sud du Maroc).

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Gagné !

L'Arabe Libyen (Lībi ليبي) est un terme générique désignant les variétés sulaymites d'arabe dialectal, principalement parlées en Libye et dans le sud-est de la Tunisie. Il se divise en deux variétés principales, l'une orientale en Cyrénaïque, l'autre occidentale en Tripolitaine et au Fezzan, en plus d'une troisième variété transitionnelle dans le centre du pays, dans les régions de Sebha, Misratah, Syrte et Djoufrah. Il est également employé dans la poésie populaire Libyenne, la fiction télévisée, la chanson. Il est rare qu'il soit écrit, ce registre étant normalement assuré par l'arabe littéral ; cependant, l'Arabe Libyen s'emploie à l'écrit dans le dessin de presse et la communication personnelle par Internet ou SMS.

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Gagné !

L'Arabe Libyen (Lībi ليبي) est un terme générique désignant les variétés sulaymites d'arabe dialectal, principalement parlées en Libye et dans le sud-est de la Tunisie. Il se divise en deux variétés principales, l'une orientale en Cyrénaïque, l'autre occidentale en Tripolitaine et au Fezzan, en plus d'une troisième variété transitionnelle dans le centre du pays, dans les régions de Sebha, Misratah, Syrte et Djoufrah. Il est également employé dans la poésie populaire Libyenne, la fiction télévisée, la chanson. Il est rare qu'il soit écrit, ce registre étant normalement assuré par l'arabe littéral ; cependant, l'Arabe Libyen s'emploie à l'écrit dans le dessin de presse et la communication personnelle par Internet ou SMS.

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Gagné !

L'Arabe Libyen (Lībi ليبي) est un terme générique désignant les variétés sulaymites d'arabe dialectal, principalement parlées en Libye et dans le sud-est de la Tunisie. Il se divise en deux variétés principales, l'une orientale en Cyrénaïque, l'autre occidentale en Tripolitaine et au Fezzan, en plus d'une troisième variété transitionnelle dans le centre du pays, dans les régions de Sebha, Misratah, Syrte et Djoufrah. Il est également employé dans la poésie populaire Libyenne, la fiction télévisée, la chanson. Il est rare qu'il soit écrit, ce registre étant normalement assuré par l'arabe littéral ; cependant, l'Arabe Libyen s'emploie à l'écrit dans le dessin de presse et la communication personnelle par Internet ou SMS.

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Gagné !

Le Français est la langue officielle de la Côte d'Ivoire. Elle y est la langue d'enseignement et 34% des habitants du pays la comprennent, dont 69% des habitants de la plus grande ville du pays : Abidjan. Les langues d'origine africaines en Côte d'Ivoire appartiennent à quatre principaux groupes linguistiques : Akan et Krou dans le sud du pays, Mandé et Voltaïque dans le nord ; il y a 66 langues indigènes et un total de 112 langues. Le XVIIIe siècle consacre les grandes migrations akan dans le sud-est et le centre du pays ainsi que celle d’autres groupes malinkés et du sud des territoires actuels du Mali et du Burkina Faso. Ainsi se met en place le système linguistique que les colonisateurs vont trouver aux XIXe siècle et XXe siècle, et auquel ils surimposeront le français.

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Gagné !

Le Français est la langue officielle de la Côte d'Ivoire. Elle y est la langue d'enseignement et 34% des habitants du pays la comprennent, dont 69% des habitants de la plus grande ville du pays : Abidjan. Les langues d'origine africaines en Côte d'Ivoire appartiennent à quatre principaux groupes linguistiques : Akan et Krou dans le sud du pays, Mandé et Voltaïque dans le nord ; il y a 66 langues indigènes et un total de 112 langues. Le XVIIIe siècle consacre les grandes migrations akan dans le sud-est et le centre du pays ainsi que celle d’autres groupes malinkés et du sud des territoires actuels du Mali et du Burkina Faso. Ainsi se met en place le système linguistique que les colonisateurs vont trouver aux XIXe siècle et XXe siècle, et auquel ils surimposeront le français.

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Gagné !

Le Français est la langue officielle de la Côte d'Ivoire. Elle y est la langue d'enseignement et 34% des habitants du pays la comprennent, dont 69% des habitants de la plus grande ville du pays : Abidjan. Les langues d'origine africaines en Côte d'Ivoire appartiennent à quatre principaux groupes linguistiques : Akan et Krou dans le sud du pays, Mandé et Voltaïque dans le nord ; il y a 66 langues indigènes et un total de 112 langues. Le XVIIIe siècle consacre les grandes migrations akan dans le sud-est et le centre du pays ainsi que celle d’autres groupes malinkés et du sud des territoires actuels du Mali et du Burkina Faso. Ainsi se met en place le système linguistique que les colonisateurs vont trouver aux XIXe siècle et XXe siècle, et auquel ils surimposeront le français.

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Le Haoussa, Hausa, ou Hawsa (en haoussa : Hausanci), est une langue afro-asiatique parlée en Afrique de l’Ouest, au Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Ghana, Niger, Nigeria, Soudan, Tchad, Togo et au Congo-Brazzaville. Environ 50 à 60 millions, voire 70 millions, de personnes maîtrisent cette langue à divers degrés dont entre 25 et 34 millions en tant que langue maternelle. Elle est notamment une des trois principales langues apprises et parlées au Nigéria avec le Yoruba et l'Igbo. Le Haoussa est présent sous divers dialectes, et sert souvent de langue véhiculaire pour d'autres ethnies et régions. Cette langue est assez différente d'une autre grande langue servant de langue véhiculaire en Afrique de de l'Ouest, le mandingue.

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Gagné !

Le Haoussa, Hausa, ou Hawsa (en haoussa : Hausanci), est une langue afro-asiatique parlée en Afrique de l’Ouest, au Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Ghana, Niger, Nigeria, Soudan, Tchad, Togo et au Congo-Brazzaville. Environ 50 à 60 millions, voire 70 millions, de personnes maîtrisent cette langue à divers degrés dont entre 25 et 34 millions en tant que langue maternelle. Elle est notamment une des trois principales langues apprises et parlées au Nigéria avec le Yoruba et l'Igbo. Le Haoussa est présent sous divers dialectes, et sert souvent de langue véhiculaire pour d'autres ethnies et régions. Cette langue est assez différente d'une autre grande langue servant de langue véhiculaire en Afrique de de l'Ouest, le mandingue.

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Le Haoussa, Hausa, ou Hawsa (en haoussa : Hausanci), est une langue afro-asiatique parlée en Afrique de l’Ouest, au Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Ghana, Niger, Nigeria, Soudan, Tchad, Togo et au Congo-Brazzaville. Environ 50 à 60 millions, voire 70 millions, de personnes maîtrisent cette langue à divers degrés dont entre 25 et 34 millions en tant que langue maternelle. Elle est notamment une des trois principales langues apprises et parlées au Nigéria avec le Yoruba et l'Igbo. Le Haoussa est présent sous divers dialectes, et sert souvent de langue véhiculaire pour d'autres ethnies et régions. Cette langue est assez différente d'une autre grande langue servant de langue véhiculaire en Afrique de de l'Ouest, le mandingue.

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Le Ngemba, également connu sous les noms de Mankon, Megimba, Mogimba, Mundum, Ngomba, Nguemba, est une langue bantoïde des Grassfields parlée par environ 18 800 personnes (en 2002) dans le Nord-Ouest du Cameroun, dans le département du Mezam autour de Tubah et Bamenda.

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Le Ouldémé (ou Ouldeme, Wuzlam) est une langue tchadique biu-mandara parlée au Cameroun par la population ouldémé, dans l'Extrême-Nord, le département du MayoSava, l'arrondissement de Tokombéré, le massif de Wuzlam au sud de Mora. En 1982 on comptait environ 10 500 locuteurs.

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Le Ngemba, également connu sous les noms de Mankon, Megimba, Mogimba, Mundum, Ngomba, Nguemba, est une langue bantoïde des Grassfields parlée par environ 18 800 personnes (en 2002) dans le Nord-Ouest du Cameroun, dans le département du Mezam autour de Tubah et Bamenda.

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Le Gbaya du Nord-Ouest est une langue nigéro-congolaise de la branche des langues oubanguiennes parlée en République centrafricaine, ainsi qu'au Cameroun. Des locuteurs sont aussi présents au Congo-Brazzaville et en faible nombre au Nigeria.

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Gagné !

Le Gbaya du Nord-Ouest est une langue nigéro-congolaise de la branche des langues oubanguiennes parlée en République centrafricaine, ainsi qu'au Cameroun. Des locuteurs sont aussi présents au Congo-Brazzaville et en faible nombre au Nigeria.

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Le Gbaya du Nord-Ouest est une langue nigéro-congolaise de la branche des langues oubanguiennes parlée en République centrafricaine, ainsi qu'au Cameroun. Des locuteurs sont aussi présents au Congo-Brazzaville et en faible nombre au Nigeria.

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Le Bedja (ou Bedàwie, Bedawi, Beja) est une langue afro-asiatique parlée par les nomades Bedjas au Soudan, en Érythrée et en Égypte. Le bedja est une langue couchitique et le seul représentant d'un groupe appelé couchitique du Nord. Ces langues font partie de la famille afro-asiatique.

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Gagné !

Le Bedja (ou Bedàwie, Bedawi, Beja) est une langue afro-asiatique parlée par les nomades Bedjas au Soudan, en Érythrée et en Égypte. Le bedja est une langue couchitique et le seul représentant d'un groupe appelé couchitique du Nord. Ces langues font partie de la famille afro-asiatique.

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Le Bedja (ou Bedàwie, Bedawi, Beja) est une langue afro-asiatique parlée par les nomades Bedjas au Soudan, en Érythrée et en Égypte. Le bedja est une langue couchitique et le seul représentant d'un groupe appelé couchitique du Nord. Ces langues font partie de la famille afro-asiatique.

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La famille des langues Bantoues est un ensemble de langues africaines qui regroupe environ 400 langues parlées dans une vingtaine de pays de la moitié sud de l'Afrique. Elles forment un sous-ensemble de la grande famille des langues nigéro-congolaises. Le nombre total de locuteurs de ces langues est évalué à 310 millions.

Elle comporte entre autres le Nyilamba-Langi. Les Langi sont une population d'Afrique de l'Est vivant au centre et au nord de l'Ouganda, à l'est du Nil. Leur langue est le Lang'o, une langue Luo dont le nombre de locuteurs était d'environ 1 490 000 lors du recensement de 2002.

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La famille des langues Bantoues est un ensemble de langues africaines qui regroupe environ 400 langues parlées dans une vingtaine de pays de la moitié sud de l'Afrique. Elles forment un sous-ensemble de la grande famille des langues nigéro-congolaises. Le nombre total de locuteurs de ces langues est évalué à 310 millions.

Elle comporte notamment l'Iraqw, langue afro-asiatique de la branche des langues couchitiques parlée en Tanzanie dans la région d'Arusha, entre les lacs Manyara et Eyasi. C'est la langue du peuple du même nom, les Iraqw.

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La famille des langues Bantoues est un ensemble de langues africaines qui regroupe environ 400 langues parlées dans une vingtaine de pays de la moitié sud de l'Afrique. Elles forment un sous-ensemble de la grande famille des langues nigéro-congolaises. Le nombre total de locuteurs de ces langues est évalué à 310 millions.

Elle comporte entre autres le Nyilamba-Langi. Les Langi sont une population d'Afrique de l'Est vivant au centre et au nord de l'Ouganda, à l'est du Nil. Leur langue est le Lang'o, une langue Luo dont le nombre de locuteurs était d'environ 1 490 000 lors du recensement de 2002.

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Ok, j'ai l'impression que certaines langues se sont croisées et mélangées au cours du temps, intéressant !

Continuons notre exploration vers une autre zone...

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Inde
Népal
Chine
Myanmar
Thaïlande
Laos
Viêt-Nam
Cambodge

1 / 3

D'où ce son peut-il bien provenir ?

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir d'Inde.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir du Népal.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir de Chine.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir du Myanmar.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir de Thaïlande.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir du Laos.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir du Viêtnam.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air de provenir du Cambodge.

OK

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Le Kannada ou kannara (ಕನ್ನಡ (kannaḍa)), anciennement Canarais et, plus rarement, Sirigannada, est l'une des plus anciennes langues dravidiennes, parlée par 37 739 040 personnes, dont 37 700 000 en Inde en 2001, dont environ 9 millions qui l'utilisent comme seconde langue. C'est la langue officielle du Karnataka, l'un des quatre États du Sud de l'Inde. Le Badaga Kannada ou simplement Badaga est plus traditionnel et ancien (utilisé depuis environ 2 300 ans).

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Gagné !

Le War Jaintia (également orthographié Waar) ou Amwi est une langue austroasiatique parlée par environ 16.000 personnes au Bangladesh et 51.000 personnes en Inde.

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Le Kannada ou kannara (ಕನ್ನಡ (kannaḍa)), anciennement Canarais et, plus rarement, Sirigannada, est l'une des plus anciennes langues dravidiennes, parlée par 37 739 040 personnes, dont 37 700 000 en Inde en 2001, dont environ 9 millions qui l'utilisent comme seconde langue. C'est la langue officielle du Karnataka, l'un des quatre États du Sud de l'Inde. Le Badaga Kannada ou simplement Badaga est plus traditionnel et ancien (utilisé depuis environ 2 300 ans).

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Le Bahing (ancêtre Paiwa, Dungmowa, Rukhusalu, Waripsawa, Timriwa, Dhimriwa, Nayango, Dhayango, Khaliwa/Khaluwa, Rendukpa/Rendu, Rungbu/Rumdali) est une langue parlée par 11 658 personnes (recensement 2011) du groupe ethnique Bahing au Népal. Elle appartient à la famille des langues Kiranti, un sous-groupe des Sino-tibetan. Brian Houghton Hodgson (1857, 1858) a décrit la langue Bahing comme ayant une morphologie verbale très complexe. Dans les années 1970, il ne restait plus que des vestiges, ce qui fait du Bahing un cas d'attrition grammaticale et de mort linguistique.

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Le Bahing (ancêtre Paiwa, Dungmowa, Rukhusalu, Waripsawa, Timriwa, Dhimriwa, Nayango, Dhayango, Khaliwa/Khaluwa, Rendukpa/Rendu, Rungbu/Rumdali) est une langue parlée par 11 658 personnes (recensement 2011) du groupe ethnique Bahing au Népal. Elle appartient à la famille des langues Kiranti, un sous-groupe des Sino-tibetan. Brian Houghton Hodgson (1857, 1858) a décrit la langue Bahing comme ayant une morphologie verbale très complexe. Dans les années 1970, il ne restait plus que des vestiges, ce qui fait du Bahing un cas d'attrition grammaticale et de mort linguistique.

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Le Bahing (ancêtre Paiwa, Dungmowa, Rukhusalu, Waripsawa, Timriwa, Dhimriwa, Nayango, Dhayango, Khaliwa/Khaluwa, Rendukpa/Rendu, Rungbu/Rumdali) est une langue parlée par 11 658 personnes (recensement 2011) du groupe ethnique Bahing au Népal. Elle appartient à la famille des langues Kiranti, un sous-groupe des Sino-tibetan. Brian Houghton Hodgson (1857, 1858) a décrit la langue Bahing comme ayant une morphologie verbale très complexe. Dans les années 1970, il ne restait plus que des vestiges, ce qui fait du Bahing un cas d'attrition grammaticale et de mort linguistique.

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Le Baima (ou Pe, en chinois 白马 Báimǎ, en tibétain Dwags-po) est une langue tibéto-birmane parlée dans les provinces de Sichuan et de Gansu en République populaire de Chine. La classification du Baima est l'objet d'une controverse. Il est souvent présenté comme un dialecte tibétain khams, sans démonstration tangible de cette affiliation. Les Baima, qui revendiquent une identité ethnique distincte, disent descendre d'une ancienne population, les Dī (氐), conquise par les Tibétains au VIIe siècle.

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Gagné !

L'Ersu (ou lüsu, duoxu, erhsu) est une langue tibéto-birmane parlée dans le centre-sud de la province du Sichuan, près de la rivière Dadu, dans le district de Ya'an, en Chine. L’Esu a trois dialectes : l’Ersu, le dialecte oriental, le Duoxu, le dialecte central, et le Lisu, le dialecte occidental. Cette langue utilise un système pictographique dans lequel les couleurs sont utilisées pour indiquer des notes d'expressivité.

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L'Ersu (ou lüsu, duoxu, erhsu) est une langue tibéto-birmane parlée dans le centre-sud de la province du Sichuan, près de la rivière Dadu, dans le district de Ya'an, en Chine. L’Esu a trois dialectes : l’Ersu, le dialecte oriental, le Duoxu, le dialecte central, et le Lisu, le dialecte occidental. Cette langue utilise un système pictographique dans lequel les couleurs sont utilisées pour indiquer des notes d'expressivité.

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Le Birman (API : /mjàNmàzəgà/ en langue écrite ; API : /bəmàzəgà/ en langue orale) appartient à la famille tibéto-birmane. Il est la langue officielle de la Birmanie (République de l'Union du Myanmar), où il est parlé comme langue maternelle par environ 30 millions de personnes (sur 46 millions d’habitants). Il trouve son origine dans les parlers de la dépression centrale du pays, se distinguant plus ou moins d’autres dialectes birmans comme le rakhine de la Province d’Arakan qui en est très proche ou l’Intha du lac Inle qui s’en distingue un peu plus. 10 millions de personnes parlent le Birman en seconde langue en Birmanie, où il est la langue obligatoire de l'enseignement.

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Le Birman (API : /mjàNmàzəgà/ en langue écrite ; API : /bəmàzəgà/ en langue orale) appartient à la famille tibéto-birmane. Il est la langue officielle de la Birmanie (République de l'Union du Myanmar), où il est parlé comme langue maternelle par environ 30 millions de personnes (sur 46 millions d’habitants). Il trouve son origine dans les parlers de la dépression centrale du pays, se distinguant plus ou moins d’autres dialectes birmans comme le rakhine de la Province d’Arakan qui en est très proche ou l’Intha du lac Inle qui s’en distingue un peu plus. 10 millions de personnes parlent le Birman en seconde langue en Birmanie, où il est la langue obligatoire de l'enseignement.

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Le Birman (API : /mjàNmàzəgà/ en langue écrite ; API : /bəmàzəgà/ en langue orale) appartient à la famille tibéto-birmane. Il est la langue officielle de la Birmanie (République de l'Union du Myanmar), où il est parlé comme langue maternelle par environ 30 millions de personnes (sur 46 millions d’habitants). Il trouve son origine dans les parlers de la dépression centrale du pays, se distinguant plus ou moins d’autres dialectes birmans comme le rakhine de la Province d’Arakan qui en est très proche ou l’Intha du lac Inle qui s’en distingue un peu plus. 10 millions de personnes parlent le Birman en seconde langue en Birmanie, où il est la langue obligatoire de l'enseignement.

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Le Lahu est une langue tibéto-birmane parlée en Chine, dans le Sud-Ouest du Yunnan par environ 280 000 Lahu. La langue est parlée, au-delà des frontières chinoises, en Birmanie, en Thaïlande, au Viêt Nam et au Laos. Le lahu est une langue tonale qui possède sept tons.

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Les langues Peariques sont un groupe de langues en danger de disparition, appartenant au rameau des langues môn-khmer orientales et parlées dans l'ouest du Cambodge et le sud-est de la Thaïlande. Les langues Peariques sont les dernières représentantes des langues autochtones du Cambodge, dont le nombre a diminué du fait de l'assimilation à la majorité Khmère. Elles doivent leur nom à l'une d'elles, le Pear. Au Cambodge, le nom de « Pear » a le sens péjoratif d'esclave ou de caste.

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Khün, ou Tai Khün (Tai Khün : /táj kʰɯ̌ːn/ ; Thai : ไทเขิน prononciation thaïe : [tʰaj kʰɤ̌ːn]), est la langue du peuple Tai Khün de Kengtung, État Shan, Myanmar. C'est une langue Tai qui est étroitement liée au Thaï et au Lao. Il est également parlé dans la province de Chiang Rai, en Thaïlande, et dans la province du Yunnan, en Chine.

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Le Laos est un pays multilingue qui possède une majorité linguistique, le Lao, parlé par 58 % de la population comme langue maternelle. Malgré cette majorité lao et la faible population du pays (6 300 000 en 2012) le pays compte près d'une centaine de langues. Les groupes minoritaires appartiennent aux familles suivantes : langues austro-asiatiques : 22%, langues tai-kadai : 13% (dont fait partie le Lao), langues miao-yao : 4%, langues tibéto-birmanes : 1%.

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Le Laos est un pays multilingue qui possède une majorité linguistique, le Lao, parlé par 58 % de la population comme langue maternelle. Malgré cette majorité lao et la faible population du pays (6 300 000 en 2012) le pays compte près d'une centaine de langues. Les groupes minoritaires appartiennent aux familles suivantes : langues austro-asiatiques : 22%, langues tai-kadai : 13% (dont fait partie le Lao), langues miao-yao : 4%, langues tibéto-birmanes : 1%.

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Le Laos est un pays multilingue qui possède une majorité linguistique, le Lao, parlé par 58 % de la population comme langue maternelle. Malgré cette majorité lao et la faible population du pays (6 300 000 en 2012) le pays compte près d'une centaine de langues. Les groupes minoritaires appartiennent aux familles suivantes : langues austro-asiatiques : 22%, langues tai-kadai : 13% (dont fait partie le Lao), langues miao-yao : 4%, langues tibéto-birmanes : 1%.

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Le Vietnamien (en vietnamien : Tiếng Việt) également appelé Annamite autrefois en France, est la langue officielle du Viêt Nam. Il appartient à la branche môn-khmer des langues austroasiatiques. Il est la langue austroasiatique qui possède le plus de locuteurs (environ dix fois plus que la seconde, le Khmer). C'est une langue isolante et monosyllabique, dotée d'un système de 6 tons. C'est la langue maternelle d'environ 85 % de la population du Viêt Nam, ainsi que d'environ deux millions d'émigrés, soit au total 80,9 millions de locuteurs en 2014.

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Le Vietnamien (en vietnamien : Tiếng Việt) également appelé Annamite autrefois en France, est la langue officielle du Viêt Nam. Il appartient à la branche môn-khmer des langues austroasiatiques. Il est la langue austroasiatique qui possède le plus de locuteurs (environ dix fois plus que la seconde, le Khmer). C'est une langue isolante et monosyllabique, dotée d'un système de 6 tons. C'est la langue maternelle d'environ 85 % de la population du Viêt Nam, ainsi que d'environ deux millions d'émigrés, soit au total 80,9 millions de locuteurs en 2014.

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Le Vietnamien (en vietnamien : Tiếng Việt) également appelé Annamite autrefois en France, est la langue officielle du Viêt Nam. Il appartient à la branche môn-khmer des langues austroasiatiques. Il est la langue austroasiatique qui possède le plus de locuteurs (environ dix fois plus que la seconde, le Khmer). C'est une langue isolante et monosyllabique, dotée d'un système de 6 tons. C'est la langue maternelle d'environ 85 % de la population du Viêt Nam, ainsi que d'environ deux millions d'émigrés, soit au total 80,9 millions de locuteurs en 2014.

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Le Khmer est une langue appartenant au groupe des langues môn-khmères de la famille des langues austroasiatiques. Langue des populations khmères, il est principalement parlé au Cambodge et dans les régions limitrophes de Thaïlande par les Khmers Surin (du nord) et au Viêt Nam par les Khmers Krom, ce qui s'explique par l'histoire de ces pays. C'est une langue non tonale, contrairement au vietnamien, l'autre grande langue môn-khmer. On compte environ treize millions de locuteurs.

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Le Khmer est une langue appartenant au groupe des langues môn-khmères de la famille des langues austroasiatiques. Langue des populations khmères, il est principalement parlé au Cambodge et dans les régions limitrophes de Thaïlande par les Khmers Surin (du nord) et au Viêt Nam par les Khmers Krom, ce qui s'explique par l'histoire de ces pays. C'est une langue non tonale, contrairement au vietnamien, l'autre grande langue môn-khmer. On compte environ treize millions de locuteurs.

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Les langues Peariques sont un groupe de langues en danger de disparition, appartenant au rameau des langues môn-khmer orientales et parlées dans l'ouest du Cambodge et le sud-est de la Thaïlande. Les langues Peariques sont les dernières représentantes des langues autochtones du Cambodge, dont le nombre a diminué du fait de l'assimilation à la majorité Khmère. Elles doivent leur nom à l'une d'elles, le Pear. Au Cambodge, le nom de « Pear » a le sens péjoratif d'esclave ou de caste.

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Ok, mais certaines langues sont en train de mourir, quel dommage que tous les habitants de cette planète ne puissent pas parler toutes les langues à leur guise.

Allons écouter une autre zone...

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Picard
Breton
Variations d'Ile de France
Alsacien
Langue d'Oc
Gascon
Corse

1 / 3

D'où ce son peut-il bien provenir ?

Hélas, ce son n'a pas l'air d'être du Picard.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air d'être du Breton.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air d'être une Variation d'Ile de France.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air d'être de l'Alsacien.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air d'être de la Langue d'Oc.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air d'être du Gascon.

OK

Hélas, ce son n'a pas l'air d'être du Corse.

OK

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Le picard est une langue romane traditionnellement parlée en France dans la région Hauts-de-France (anciennement les régions Nord-Pas-de-Calais et Picardie) ainsi que dans l’ouest de la Belgique romane (plus précisément dans la province de Hainaut, à l’ouest d’une ligne Rebecq-Beaumont-Chimay). Le picard est un élément de l'ensemble dialectal traditionnellement désigné comme langue d'oïl.

Pour désigner cette langue, on utilise Picard dans la région Picardie et le plus souvent les mots Ch’ti et Ch’timi dans les départements du Nord et du Pas-de-Calais (Rouchi dans la région de Valenciennes). Cependant, la plupart des locuteurs concernés ont le sentiment d'user d'un patois – terme péjoratif délibérément utilisé par les linguistes à l'époque où l'Instruction publique avait pour mission de répandre l'usage du français sur l'ensemble du territoire et notamment dans les campagnes.

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Le picard est une langue romane traditionnellement parlée en France dans la région Hauts-de-France (anciennement les régions Nord-Pas-de-Calais et Picardie) ainsi que dans l’ouest de la Belgique romane (plus précisément dans la province de Hainaut, à l’ouest d’une ligne Rebecq-Beaumont-Chimay). Le picard est un élément de l'ensemble dialectal traditionnellement désigné comme langue d'oïl.

Pour désigner cette langue, on utilise Picard dans la région Picardie et le plus souvent les mots Ch’ti et Ch’timi dans les départements du Nord et du Pas-de-Calais (Rouchi dans la région de Valenciennes). Cependant, la plupart des locuteurs concernés ont le sentiment d'user d'un patois – terme péjoratif délibérément utilisé par les linguistes à l'époque où l'Instruction publique avait pour mission de répandre l'usage du français sur l'ensemble du territoire et notamment dans les campagnes.

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Le picard est une langue romane traditionnellement parlée en France dans la région Hauts-de-France (anciennement les régions Nord-Pas-de-Calais et Picardie) ainsi que dans l’ouest de la Belgique romane (plus précisément dans la province de Hainaut, à l’ouest d’une ligne Rebecq-Beaumont-Chimay). Le picard est un élément de l'ensemble dialectal traditionnellement désigné comme langue d'oïl.

Pour désigner cette langue, on utilise Picard dans la région Picardie et le plus souvent les mots Ch’ti et Ch’timi dans les départements du Nord et du Pas-de-Calais (Rouchi dans la région de Valenciennes). Cependant, la plupart des locuteurs concernés ont le sentiment d'user d'un patois – terme péjoratif délibérément utilisé par les linguistes à l'époque où l'Instruction publique avait pour mission de répandre l'usage du français sur l'ensemble du territoire et notamment dans les campagnes.

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Le Breton (en breton : brezhoneg, prononcé : [breˈzõːnɛk] ou [bʁeˈzõːnək] est une langue celtique parlée par 172 000 personnes en Bretagne (en 2009), 35 000 personnes seulement le parleraient quotidiennement. Le Breton est, après le Français, la première langue parlée dans la région de la Bretagne, devant le Gallo, ayant sept fois moins de locuteurs. Depuis les années 1980, il n'est plus attesté de brittophone monolingue. Ses locuteurs sont donc des brittophones ou bretonnants.

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Le Breton (en breton : brezhoneg, prononcé : [breˈzõːnɛk] ou [bʁeˈzõːnək] est une langue celtique parlée par 172 000 personnes en Bretagne (en 2009), 35 000 personnes seulement le parleraient quotidiennement. Le Breton est, après le Français, la première langue parlée dans la région de la Bretagne, devant le Gallo, ayant sept fois moins de locuteurs. Depuis les années 1980, il n'est plus attesté de brittophone monolingue. Ses locuteurs sont donc des brittophones ou bretonnants.

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Le Breton (en breton : brezhoneg, prononcé : [breˈzõːnɛk] ou [bʁeˈzõːnək] est une langue celtique parlée par 172 000 personnes en Bretagne (en 2009), 35 000 personnes seulement le parleraient quotidiennement. Le Breton est, après le Français, la première langue parlée dans la région de la Bretagne, devant le Gallo, ayant sept fois moins de locuteurs. Depuis les années 1980, il n'est plus attesté de brittophone monolingue. Ses locuteurs sont donc des brittophones ou bretonnants.

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Le parler parisien est la forme locale du français parlé à Paris. Pour certains linguistes, il est difficile de parler d'accent parisien dans la mesure où la norme du français est généralement attribuée à la bourgeoisie de Paris. Un accent étant l'écart par rapport à cette norme, on ne pourrait pas réellement parler d'accent parisien. L'accent parisien reste cependant associé à l'accent populaire de Belleville et Ménilmontant, celui du titi parisien, popularisé notamment par le cinéma dans les années 1930 et 1940. Cet accent tend à disparaître mais il existe désormais un accent de banlieue, que l'on rencontre des deux côtés du périphérique. Il s'agit donc là d'accents plus sociaux que géographiques.

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Le parler parisien est la forme locale du français parlé à Paris. Pour certains linguistes, il est difficile de parler d'accent parisien dans la mesure où la norme du français est généralement attribuée à la bourgeoisie de Paris. Un accent étant l'écart par rapport à cette norme, on ne pourrait pas réellement parler d'accent parisien. L'accent parisien reste cependant associé à l'accent populaire de Belleville et Ménilmontant, celui du titi parisien, popularisé notamment par le cinéma dans les années 1930 et 1940. Cet accent tend à disparaître mais il existe désormais un accent de banlieue, que l'on rencontre des deux côtés du périphérique. Il s'agit donc là d'accents plus sociaux que géographiques.

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Le parler parisien est la forme locale du français parlé à Paris. Pour certains linguistes, il est difficile de parler d'accent parisien dans la mesure où la norme du français est généralement attribuée à la bourgeoisie de Paris. Un accent étant l'écart par rapport à cette norme, on ne pourrait pas réellement parler d'accent parisien. L'accent parisien reste cependant associé à l'accent populaire de Belleville et Ménilmontant, celui du titi parisien, popularisé notamment par le cinéma dans les années 1930 et 1940. Cet accent tend à disparaître mais il existe désormais un accent de banlieue, que l'on rencontre des deux côtés du périphérique. Il s'agit donc là d'accents plus sociaux que géographiques.

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L'Alsacien (Elsässisch, Elsàssisch ou encore Elsàsser Ditsch) est la dénomination donnée aux parlers alémaniques et franciques traditionnels d'Alsace. Ces langues régionales sont qualifiées de « dialectes » dans le sens où leur grammaire et leur graphie ne sont pas (originellement) codifiées. L'Alsacien est la deuxième langue autochtone parlée en France (en nombre de locuteurs) après le français si on considère l'occitan comme un ensemble de parlers non homogènes, et la troisième dans l'hypothèse contraire. En 2014, on dénombrait 800 000 locuteurs de l'alsacien (au sens large, c'est-à-dire tous les parlers germaniques rassemblés sous cette appellation) dans la région, sur 1,8 million d'habitants, soit 43 % de la population interrogée.

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L'Alsacien (Elsässisch, Elsàssisch ou encore Elsàsser Ditsch) est la dénomination donnée aux parlers alémaniques et franciques traditionnels d'Alsace. Ces langues régionales sont qualifiées de « dialectes » dans le sens où leur grammaire et leur graphie ne sont pas (originellement) codifiées. L'Alsacien est la deuxième langue autochtone parlée en France (en nombre de locuteurs) après le français si on considère l'occitan comme un ensemble de parlers non homogènes, et la troisième dans l'hypothèse contraire. En 2014, on dénombrait 800 000 locuteurs de l'alsacien (au sens large, c'est-à-dire tous les parlers germaniques rassemblés sous cette appellation) dans la région, sur 1,8 million d'habitants, soit 43 % de la population interrogée.

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L'Alsacien (Elsässisch, Elsàssisch ou encore Elsàsser Ditsch) est la dénomination donnée aux parlers alémaniques et franciques traditionnels d'Alsace. Ces langues régionales sont qualifiées de « dialectes » dans le sens où leur grammaire et leur graphie ne sont pas (originellement) codifiées. L'Alsacien est la deuxième langue autochtone parlée en France (en nombre de locuteurs) après le français si on considère l'occitan comme un ensemble de parlers non homogènes, et la troisième dans l'hypothèse contraire. En 2014, on dénombrait 800 000 locuteurs de l'alsacien (au sens large, c'est-à-dire tous les parlers germaniques rassemblés sous cette appellation) dans la région, sur 1,8 million d'habitants, soit 43 % de la population interrogée.

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L’Occitan ou langue d’Oc (en occitan : occitan , lenga d'òc ou óucitan, lengo d’o) est une langue romane parlée dans le tiers sud de la France, les Vallées occitanes et Guardia Piemontese en Italie, le Val d'Aran en Espagne et à Monaco. L'aire linguistique et culturelle de l'occitan est appelée l’Occitanie ou Pays d'Oc. Les estimations du nombre de locuteurs d'occitan sont extrêmement divergentes selon les sources, toutefois l’Occitan ressort comme la langue régionale la plus parlée en France.

L’occitan fut très tôt, dès le Moyen Âge classique, une langue administrative et juridique concurrente du latin. La langue occitane est connue pour sa riche littérature à partir du XIIe siècle, époque où les troubadours vont commencer à la rendre illustre dans toutes les cours d'Europe. Dès le XIIIe siècle, l’occitan est utilisé comme langue scientifique (traités de médecine, de chirurgie, d’arithmétique...). Elle fut aussi une langue utilisée pour les échanges commerciaux internationaux.

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L’Occitan ou langue d’Oc (en occitan : occitan , lenga d'òc ou óucitan, lengo d’o) est une langue romane parlée dans le tiers sud de la France, les Vallées occitanes et Guardia Piemontese en Italie, le Val d'Aran en Espagne et à Monaco. L'aire linguistique et culturelle de l'occitan est appelée l’Occitanie ou Pays d'Oc. Les estimations du nombre de locuteurs d'occitan sont extrêmement divergentes selon les sources, toutefois l’Occitan ressort comme la langue régionale la plus parlée en France.

L’occitan fut très tôt, dès le Moyen Âge classique, une langue administrative et juridique concurrente du latin. La langue occitane est connue pour sa riche littérature à partir du XIIe siècle, époque où les troubadours vont commencer à la rendre illustre dans toutes les cours d'Europe. Dès le XIIIe siècle, l’occitan est utilisé comme langue scientifique (traités de médecine, de chirurgie, d’arithmétique...). Elle fut aussi une langue utilisée pour les échanges commerciaux internationaux.

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L’Occitan ou langue d’Oc (en occitan : occitan , lenga d'òc ou óucitan, lengo d’o) est une langue romane parlée dans le tiers sud de la France, les Vallées occitanes et Guardia Piemontese en Italie, le Val d'Aran en Espagne et à Monaco. L'aire linguistique et culturelle de l'occitan est appelée l’Occitanie ou Pays d'Oc. Les estimations du nombre de locuteurs d'occitan sont extrêmement divergentes selon les sources, toutefois l’Occitan ressort comme la langue régionale la plus parlée en France.

L’occitan fut très tôt, dès le Moyen Âge classique, une langue administrative et juridique concurrente du latin. La langue occitane est connue pour sa riche littérature à partir du XIIe siècle, époque où les troubadours vont commencer à la rendre illustre dans toutes les cours d'Europe. Dès le XIIIe siècle, l’occitan est utilisé comme langue scientifique (traités de médecine, de chirurgie, d’arithmétique...). Elle fut aussi une langue utilisée pour les échanges commerciaux internationaux.

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Le Gascon est généralement considéré comme la variété de l'occitan propre au « triangle dit aquitain. Sa genèse et les caractéristiques de son système vocalique et consonantique ainsi que celles de sa morphologie verbale, le font parfois considérer comme une langue spécifique. En France, le gascon, à l'instar de l'ensemble des dialectes occitans, ne dispose d'aucun statut officiel. Il est inclus dans l'occitan qui devient langue d'enseignement facultatif au titre de la loi Deixonne, puis individualisé dans le cadre de l'appellation plus consensuelle d'occitan-langue d'oc sous le nom d'occitan-langue d'oc gascon.

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Le Gascon est généralement considéré comme la variété de l'occitan propre au « triangle dit aquitain. Sa genèse et les caractéristiques de son système vocalique et consonantique ainsi que celles de sa morphologie verbale, le font parfois considérer comme une langue spécifique. En France, le gascon, à l'instar de l'ensemble des dialectes occitans, ne dispose d'aucun statut officiel. Il est inclus dans l'occitan qui devient langue d'enseignement facultatif au titre de la loi Deixonne, puis individualisé dans le cadre de l'appellation plus consensuelle d'occitan-langue d'oc sous le nom d'occitan-langue d'oc gascon.

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Le Gascon est généralement considéré comme la variété de l'occitan propre au « triangle dit aquitain. Sa genèse et les caractéristiques de son système vocalique et consonantique ainsi que celles de sa morphologie verbale, le font parfois considérer comme une langue spécifique. En France, le gascon, à l'instar de l'ensemble des dialectes occitans, ne dispose d'aucun statut officiel. Il est inclus dans l'occitan qui devient langue d'enseignement facultatif au titre de la loi Deixonne, puis individualisé dans le cadre de l'appellation plus consensuelle d'occitan-langue d'oc sous le nom d'occitan-langue d'oc gascon.

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La langue Corse est une langue romane appartenant au groupe italo-roman. Étroitement apparentée au toscan, elle est très proche des dialectes d'Italie centrale. L'ensemble des dialectes corses présente une unité réelle, en ce sens que des règles au niveau de l'écriture permettent, par exemple, de passer de l'un à l'autre (langue-toit). Cette coexistence de l'unité et de la diversité a donné naissance au concept sociolinguistique de langue polynomique. Jusqu'au début du XIXe siècle, avec la date clé de 1852 où seul le français devient officiel et où l'italien est proscrit, le corse et l'italien sont considérés comme deux formes d'une même langue (un diasystème), le corse étant la forme parlée, avec ses variantes locales, l'italien la langue écrite. En 2002, on estimait cette langue pratiquée par 122 000 locuteurs.

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La langue Corse est une langue romane appartenant au groupe italo-roman. Étroitement apparentée au toscan, elle est très proche des dialectes d'Italie centrale. L'ensemble des dialectes corses présente une unité réelle, en ce sens que des règles au niveau de l'écriture permettent, par exemple, de passer de l'un à l'autre (langue-toit). Cette coexistence de l'unité et de la diversité a donné naissance au concept sociolinguistique de langue polynomique. Jusqu'au début du XIXe siècle, avec la date clé de 1852 où seul le français devient officiel et où l'italien est proscrit, le corse et l'italien sont considérés comme deux formes d'une même langue (un diasystème), le corse étant la forme parlée, avec ses variantes locales, l'italien la langue écrite. En 2002, on estimait cette langue pratiquée par 122 000 locuteurs.

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La langue Corse est une langue romane appartenant au groupe italo-roman. Étroitement apparentée au toscan, elle est très proche des dialectes d'Italie centrale. L'ensemble des dialectes corses présente une unité réelle, en ce sens que des règles au niveau de l'écriture permettent, par exemple, de passer de l'un à l'autre (langue-toit). Cette coexistence de l'unité et de la diversité a donné naissance au concept sociolinguistique de langue polynomique. Jusqu'au début du XIXe siècle, avec la date clé de 1852 où seul le français devient officiel et où l'italien est proscrit, le corse et l'italien sont considérés comme deux formes d'une même langue (un diasystème), le corse étant la forme parlée, avec ses variantes locales, l'italien la langue écrite. En 2002, on estimait cette langue pratiquée par 122 000 locuteurs.

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Ok, dans cette partie de la planète, il y aussi un héritage de langues minoritaires ou dialectes locaux qui résiste au temps.

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Cela mérite que l'on s'approche un peu plus.

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